A toi, la fille qui m'a toujours redonnée le sourire dans les moments les plus sombres, qui m'a fait découvrir un certain mister Marley *A toi, cette fille que je connais depuis bientôt six ans et que je vois dériver loin de moi.Ta voix me manque, nos délires idiots me manquent, t'en souviens-tu? A toi, cette fille qui évolue tant bien que mal parmi d'autres et loin de moi. A cette fille qui s'attachent peut-être trop vite aux gens et qui est trop vite déçue. A cette fille que je crois avoir deçue, de m'être trop éloigné sans prévenir et sans donner de nouvelles. Sache juste que si tu as besoin de vider ton coeur, je serai toujours là.Mais vider son coeur à quelqu'un que tu ne connais presque plus actuellement, c'est un peu difficile. On a changé, mais tu seras toujours dans mon coeur.

A toi mon amie, qui me manque.

Peut-être que je m'emporte trop vite..

Peut-être que je rêve un peu trop, je m'engourdie de son regard. Je m'en veux, je m'attache trop vite, j'espère trop, je ne calcule jamais. La première hypothèse prend le dessus, petite fille tu aurais du faire attention, ton esprit va succomber, ton coeur roué. Mais putain ça m'a fait tellement de bien, tu m'as fais tellement du bien, je n'aurai jamais voulu que ça s'arrête.

Je me cogne à la vie, mon coeur remue dans tous sens. Non, je ne suis pas tombée amoureuse, juste tombée sous le charme.Peut-être qu'il me comprendra, lui. Qu'il me renseignera un peu plus sur Lui*.Je n'ai jamais vraiment su savoir quoi prendre et quand attrapper les instants de bonheur quand ils viennent à moi.

Les regrets sont au seuil de ma porte, la porte de mon coeur. Je le sens, il se remplira de remords d'ici peu.Je m'en suis toujours voulu d'être ce que je suis, des choix que j'ai fais.J'aurai du laisser ma main dans la sienne, ne pas avoir peur, continuer cet invisible rêve.Mon coeur en pleine déroute, mais pourquoi?

Alors c'est ainsi, la petite Fanny est bien trop fragile, un rien la renverse.Une chute si douce, pourtant.J'ai le mal de toi, tu étais surement un peu fatigué, mais non. Je ne peux pas désolée.Tu sais, j'aurai pu resté encore tellement longtemps comme cela.

"Sans Toi, ni lois, seule avec mes doutes". Je t'attends, je t'attends, je t'attends..**

Je ne sais pas, je ne sais plus. Je sais juste que ce soir là, son regard ma boulversé, son regard posé sur moi qui m'a montré que la douceur existait encore. L'amour est une chose, l'amour se dévoile peu à peu ou alors ce que l'on croit être de l'amour n'en est pas. Comme une fleur qui s'est épanouie pendant un moment et cela me desolerai qu'elle fâne aussi vite.Il a posé tellement de fois ses yeux sur moi, tellement longtemps, le temps s'été arrêté mais ça ne m'a pas fait de mal.De la magie dans son regard, je me suis sentie belle à travers lui. Et efleurer ces doigts, toucher ses cheveux. Ne pas trop savoir ce que l'on fait, juste le faire, juste se laisser aller dans de la tendresse entouré d'étoiles. C'est alors qu'on a d'yeux que pour celui qui se trouve en face et qui vous fait un peu vivre. Sentir ses doigts chercher les miens, sentir mon corp frissonner, mon coeur battre et mon souffle s'allonger. Elle ne sait pas vraiment ce qui c'est passé. Elle a juste des milliers de papillons dans le ventre en se souvenant de ce regard qui s'est impregné dans sa tête pendant elle ne sait combien de temps. Et pourtant, elle aimerait qu'il y soit durant un moment et le revoir autant de fois que possible. Juste revivre ce petit instant, à flotter sur un nuage, à se sentir bien à ne pas vraiment savoir ce qu'il se passe. Car ce qu'il s'est passé, elle ne l'a jamais vécu auparavant car , je crois, qu'elle ne s'est jamais sentie belle à travers un inconnu. Cet inconnu si proche pourtant, si près, ne sachant pas vraiment à savoir quel étrange phénomène s'est crée. Si ça se trouve, lui a oublié et n'a même pas remarqué cette magie. Mais je ne peux le croire car personne ne l'avait jamais regardé comme cela auparavant, j'ai vu des étoiles dans ses yeux. Je ne veux pas que son regard s'efface aussi vite, car les souvenirs même les plus marquant sont parfois difficile à se rappeller. Par des mots, toujours, mais plus difficilement par l'image. Ce n'est alors peut-être qu'une illusion, qu'une manifestation traversant mon coeur vide et ma vie, juste  un fait qui s'est produit car il devait se produire et parce qu'il faut bien rêver par moments pour avancer. Deux facettes sont en moi et me pertubent, j'aimerais continuer, en savoir un peu plus pour ne pas passer à côté de quelque chose, je me dis que lui n'a rien ressentit, apart sur le coup, qu'il n'y pense plus et que tout s'arrête là et je serai un peu déçue mais d'un autre côté je ne peux que me dire que c'était beau, que je n'ai jamais vécu cela et que ça me fait rêver. Je ne serai jamais aussi deçue qu'avec ces autres, passés. Car tu m'as donné un peu de bonheur et de tendresse.Cet inconnu de début de soirée, qui a finit par me boulverser. Je me permets de rêver.

Juste, en espèrant te revoir. *

J'accepte pas ma gueule, mon nez, mes cheveux, mes yeux, mon ventre.
J'accepte pas mes pensées, mes goûts, mes idées, mes envies.

Je ne m'accepte pas 

23:30. Alors je me retrouve là, devant cet écran trop vite, ce clavier trop bruyant et ce parquet trop glacé à écouter une chanson japonaise, accompagnée d'un noeud trop serré au milieu de ma gorge. Ce noeud qui renferme et serre un trop plein de larmes amassées derrière ce noeud et bloquées. Je ne veux pas craquer et pourtant , [...] .Ces artistes pleins de joie et de bonne humeur ont réussis à me chasser du salon car ils n'arrivaient plus à me faire rire. Ca sert à quoi de regarder des gens rirent alors que tu penses à autre chose.

Tu peux basculer d'un instant à l'autre, jamais je n'aurai cru m'écrouler aussi vite, retomber aussi bas que le monde. Oui, quand j'ai vu ce commentaire, je t'en ai voulu. Je t'en ai pas parlé tout de suite, pourquoi elle et pas moi? Non, non, je me freine, je m'entraîne encore plus dans la chute, je me laisse aller. Ce sentiment de peur survient pour la première fois avec toi, ce soir, sur "msn". Pitoyable, j'ai honte. Mais dans quelle époque vit-on? Et qui suis-je pour en vouloir à l'être qui m'est le plus cher à cause d'une simple page internet. Je m'en veux. Le noeud se resserre. Les larmes montent, un instant, une pause éphèmere, une éternité. Je suis transpercée de tous côtés, une brûlure sur ces lèvres qui sont tombées au plus bas. Je cède, seule, dans la nuit, dans le froid. La musique continue de tourner  Ayabie

When a dream becomes a reality

car je ne veux pas être comme vous, vous m'opprossez, votre connerie me donne la gerbe et vos jugements m'insupportent.Ma nuque a cédée sous votre poids et sous vos regards, vous me poussez dans la gueule du loup et je me retiens de toute mes forces, je me fais petite. Vos grandes mains osseuses  m'attrapent le coeur et le serre. Crise cardiaque, je n'ai pas supporté. Ceder sous le poid de votre connerie et de vos mensonges, de ce monde qui n'avance plus mais qui recule. Je me sens tellement petite et fragile.

ECRASEZ MOI POUR QUE JE N'EXISTE PLUS

• C'était juste un 18 août 2007 où je me suis mise à vivre plus fort que jamais. Je suis montée tellement haut, que je n'aurai jamais cru tomber aussi bas. C'est juste un rêve dans lequel je vis chaque jour. Ca m'est venu en plein dedans quand je m'y attendais le moins. Moi, à qui bob marley redonnait le sourire, à qui tiersen  faisait pleurer, à qui muse électrifiait. J'ai trouvé tout cela dans Indochine. Biensur, je n'oublie pas les autres, je les ai juste mis de côté, je les ai délaissés. Nicola Sirkis et Indochine. C'est bizarre, je n'ai jamais vraiment aimé le mot fan. On dirait qu'il vous attache à quelque chose et vous met en concurrence avec d'autres. Alors je ne me sens pas forte pour supporter ces trois petites lettres. Je dirais juste que je suis pour Indochine. Bienque cela me fasse peur, le plus important c'est que cela me fasse espèrer et continuer à vivre. A ignorer les autres, à m'envoler, à m'évader, à penser à la personne la plus importante à mes yeux ; car le plus beau dans tout ce rêve, c'est que je l'ai partagé avec quelqu'un. C'est de me dire que quelqu'un me comprend, que quelqu'un m'aime et tient à moi. Cette voix qui me coupe petit à petit, des bras pleins de sang. Ecorchée vive. Puis le rêve continue tant bien que mal, un deuxième concert completement à l'arrache. A 400 km de chez nous, en pleine semaine, entre deux jours de cours. Se couper du monde et s'envoler, s'envoler, s'envoler.. Un jour, on sera tellement haut qu'on ne retombera plus jamais, je te le promets.

Je n'arrête pas d'avancer, de me cogner à la vie. J'étouffe sous terre, je erre, je suis seule. 36° j'explose, il fait chaud, mon corp s'évapore petit à petit, mes poumons se contractent. Je n'arrive plus à respirer. Je plonge la tête sous l'eau et me laisser flotter, comme un corp mort, inerte, qu'un meurtrier en cavale aurait jetter dans un fleuve et qui continue de flotter par dessus terre, par dessus mer, dans le ciel, en hauteur.

-J'ai besoin d'évasion-